Vaccins obligatoires : oui ou non ?
Médecines alternatives
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POURQUOI RENDRE OBLIGATOIRES 11 VACCINS CHIMIQUES (de synthèse) DE 2 MOIS JUSQU’À 14 ANS à nos enfants !?
L'équipe Macro Editions
Comme nous l'avons déjà écrit, les maladies infectieuses sont statistiquement insignifiantes aujourd’hui, les épidémies les plus graves sont d’origine chimique (de synthèse).
La fameuse "immunité de groupe" (par la vaccination), c’est la protection que 95 % des personnes vaccinées garantiraient aux personnes non vaccinées, en leur permettant de rester en bonne santé... MAIS si la santé dépend essentiellement d'un système immunitaire fort, que conclure vu que la vaccination compromet le système immunitaire... ?!?
La définition originale de l'immunité collective s'appliquait à l'effet protecteur qui s'établissait quand une population contractait une infection et récupérait naturellement de cette infection.
L'immunité naturelle est pour la vie
tandis que l'immunité acquise par les vaccins ne l'est pas.
L'immunité à relativement court terme induite par les vaccins dans une population hyper vaccinée ne peut en aucune manière être comparée à l'immunité naturelle. Le mythe de l'immunité de groupe a été, il y a des dizaines d'années, appliquée à l'immunité induite par les vaccins sous prétexte que ces derniers assuraient une immunité à vie comme le faisait l'immunité naturelle, mais ce n’est pas le cas (l'idée étant que dans une population bien vaccinée, la plupart des personnes contaminées seront des personnes chez qui l’agent pathogène ne pourra pas se multiplier). Il n'y a pas si longtemps que l'on a découvert que la plupart des vaccins perdaient leur efficacité 2 à 10 ans après avoir été administrés.
« L’entreprise médicale est devenue un danger majeur pour la santé…Un appareil technique imposant allié à une bureaucratie médicale "égalitaire" a créé l'illusion dangereuse d'une corrélation "naturelle" entre l'intensité de l'acte médical et la fréquence des guérisons. Cette hypothèse, qui fonde pourtant la pratique médicale contemporaine, n'a jamais été prouvée scientifiquement… La médecine est une marchandise qui échappe à tout contrôle de coût, comme à tout contrôle de qualité. » (Ivan Illich)
UN PEU D’HISTOIRE DES MALADIES INFECTIEUSES*
* Ankylostomiase, brucellose, fièvre charbonneuse, diphtérie, érysipèle, lèpre, malaria, méningite, rougeole, oreillons, coqueluche, poliomyélite, scarlatine, syphilis, tétanos, fièvre typhoïde et fièvre paratyphoïde, variole, varicelle
Partout et de tout temps, les épidémies de maladies infectieuses disparaissent en présence de :
- alimentation saine et abondante (ajoutons locale et de saison ! ndr)
- eau potable
- système d’égouts couverts
- hygiène personnelle et instruction.
Le nombre de décès par maladies infectieuses s’est effondré bien avant le début des vaccinations de masse.
Répartition des décès par cause en France
LA PLUS GRANDE ÉPIDÉMIE, CE SONT LES PRÉJUDICES CAUSÉS PAR LES VACCINS
La vaccination doit rester libre de choix et accessible en monodose.
(en espérant avoir toute l'information accessible pour choisir !)
Il n’existe aucune étude sur les effets produits par les onze vaccins administrés à un nouveau-né en aussi peu de temps...
Un enfant sur deux souffre des réactions indésirables les plus fréquentes :
- fièvre parfois élevée
- perte d’appétit et/ou insomnie
- pleurs inconsolables
- anomalies parfois graves comparativement au comportement précédant les vaccinations
- otite
- dermatite
- allergies et intolérances alimentaires
PRÉVENTION RÉELLE ET REMÈDES NATURELS
Les vaccinations constituent une agression chimique (de synthèse) et artificielle violente qui affaiblit le système immunitaire du nouveau-né. De plus, elles n’excluent pas le risque de tomber malade.
Seule l’immunité naturelle est efficace et garantie à vie. Un système immunitaire sain et fort peut faire face à toutes les situations que le corps affronte quotidiennement. Pour faire de la vraie prévention et renforcer naturellement le système immunitaire, les actions les plus importantes sont :
- ACCOUCHEMENT NATUREL PAR VOIE BASSE. C’est la façon la plus saine et la plus sûre de naître, aussi bien pour le nouveau-né que pour sa mère (éviter les césariennes ou les accouchements déclenchés à l’aide de médicaments). Sortir du placenta par le canal vaginal est essentiel pour le nouveau-né, car c’est l’environnement idéal pour rencontrer les bactéries pour la première fois. Il est important de couper le cordon ombilical le plus tard possible (après plusieurs minutes jusqu’à 2 heures) pour favoriser le passage du sang du placenta au nouveau-né.
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DÈS QUE L’ENFANT EST NÉ, LA MÈRE DOIT LE TENIR LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE AU CONTACT DE SA PEAU. ALLAITEMENT AU SEIN DE 6 MOIS À 3 ANS. L’allaitement au sein est de loin la meilleure mesure de prévention que la nature offre contre la maladie. Se méfier si le pédiatre ou le médecin propose d’enrichir le lait maternel. Avec un peu de préparation et quelques astuces, presque toutes les mères sont capables d’allaiter au sein.
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ALIMENTATION SAINE ET NATURELLE, COMPLÈTE ET BIOLOGIQUE, LOCALE ET DE SAISON. L’alimentation principalement végétale à base de légumes et de légumineuses, de céréales et de fruits avec de petites quantités d’aliments d’origine animale est la meilleure forme de prévention toute la vie durant. Éviter les boissons, les sucreries et les aliments industriels raffinés et artificiels.
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RESTER DEHORS QUELQUES HEURES PAR JOUR, MARCHER, COURIR ET JOUER. Ce sont des activités essentielles pour la bonne santé de tous, à commencer par les plus petits.
Parlons vaccins : BILAN
LE VACCIN HEXAVALENT : TROIS FOIS SIX VACCINS EN UN
DIPHTERIE
Maladie liée à l’eau polluée et à la dénutrition qui a disparu en Europe depuis 40 ans.
POLIOMYELITE
Maladie éradiquée en Europe depuis 30 ans. Les derniers cas étaient tout liés à la vaccination.
TETANOS
Maladie rare, non contagieuse et non infantile : aucun cas avant 18 ans !
HEPATHITE B
Maladie rare qui n’est pas infantile.
HAEMOPHILUS INFLUENZAE de type B
Maladie rare et bénigne, vaccination absolument injustifiée : il n’existe même pas de données statistiques.
COQUELUCHE
Le vaccin ne protège pas contre la maladie. Les préjudices neurologiques les plus importants qu’on a pu enregistrer sont liés à ce vaccin (et à celui contre la rougeole). Le vaccin coqueluche-tétanos-diphtérie est très dangereux et l’administrer aux femmes enceintes n’est pas justifié scientifiquement.
MENINGOCOQUE B
Maladie rare qui ne progresse pas. Le vaccin est expérimental et ne protège pas contre la maladie, mais peut au contraire la favoriser.
MENINGOCOQUE C
Maladie rare qui ne progresse pas. Le vaccin ne protège pas contre la maladie, mais peut au contraire la favoriser.
LE VACCIN TRIVALENT : TROIS VACCINS EN UN
ROUGEOLE
Le vaccin ne protège pas contre la maladie. On observe fréquemment des épidémies parmi les personnes vaccinées. C’est le vaccin qu’on suspecte le plus dans l’épidémie dramatique d’autisme et d’autres maladies neurologiques chez les nouveau-nés. Le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) est très dangereux.
OREILLONS
Maladie sans danger, de plus en plus rare. La vaccination n’a aucune justification épidémiologique.
RUBEOLE
Maladie sans danger sauf, en de rares cas, chez la femme enceinte.
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>> Les vaccins sont-ils une illusion ? <<
