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C’est l’histoire de notre cerveau et de notre système immunitaire

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C’est l’histoire de notre cerveau et de notre système immunitaire

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C’est l’histoire de notre cerveau et de notre système immunitaire
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Il faut certainement retrouver une vision plus globale et complète de l’individu, de l’environnement et de ses interactions physiologiques, pathologiques et psychologiques.


L'équipe Macro Editions

Les changements environnementaux rapides, tout particulièrement au fil du siècle dernier, ont placé notre corps biologique dans une impasse difficile à surmonter et, plus encore, à contrer. Il faut certainement retrouver une vision plus globale et complète de l’individu, de l’environnement et de ses interactions physiologiques, pathologiques et psychologiques.

Ce n’est que sous ce jour que nous pourrons mieux comprendre le sens et la fréquence de ces maladies d’une manière qui permette de mieux les affronter. Mais est-il possible de faire face aux mutations environnementales ? D’une certaine manière, on peut dire que oui.

Repos... zéro !

C’est l’histoire de notre cerveau et de notre système immunitaire, qui ne sont jamais au repos, ne connaissent jamais de trêve, tout particulièrement dans ce monde moderne que nous avons construit.

"Pour ce faire, nous avons payé un lourd tribut à travers les modifications environnementales, la pollution chimique, électromagnétique, l’érosion des rapports sociaux mais, surtout, la perte progressive de notre équilibre intérieur, du sens de notre vie, de la gestion de nos émotions."

Cette lutte n’est plus seulement celle de la survie, comme pour nos ancêtres qui allaient à la recherche de leur nourriture. C’est une lutte pour préserver quelque chose d’encore plus précieux, notre cerveaux, nos sentiments les plus instinctifs, le sens même de notre vie dont on nous exproprie peu à peu presque sans que nous nous en apercevions, plongés que nous sommes dans les stress du travail et des difficultés du quotidien.

Nous sommes constamment attaqués mais nous ne nous en apercevons pas ou, si nous nous en apercevons, nous ne pouvons rien faire de particulier contre cela.

L'histoire de notre cerveau et notre système immunitaire

La seule chose que nous puissions faire est ouvrir les yeux de notre esprit, chercher de donner un sens plausible à ce que nous faisons pour nous, pour nos enfants, afin de pouvoir nous améliorer nous-mêmes et, ainsi, agir sur le monde.

"Pour nous soigner également il nous faut comprendre,

donner un sens à notre maladie de manière à pouvoir l’affronter."

On voudrait nous faire passer pour d’innocents moutons obéissant passivement à tout ce qu’on leur dit de faire, nous ôtant même la peine de comprendre et de choisir. Eh bien, cela, au moins, nous pouvons le faire !

Notre système immunitaire : un vrai réseau de santé !


Le système immunitaire est un réseau dense de cellules, tissus, organes et médiateurs chimiques dédiés à réguler les interactions avec l’environnement, à travers des mécanismes de contrôle et d’équilibrage qui se sont génétiquement formés au fil de millions d’années.

L’une des caractéristiques du système immunitaire est donc la capacité de distinguer entre les composants internes à l’organisme et ceux externes qui ne constituent pas de danger et qui doivent donc être préservés et protégés (soi*) et ceux, toujours internes ou externes, qui sont en revanche nocifs et contre lesquels il faut lutter (non-soi*).

La distinction entre soi et non-soi se produit surtout au niveau moléculaire et est gérée par des structures cellulaires particulières qui permettent la présentation et la reconnaissance des composants de l’agent considéré comme nocif. Le nom de ces structures est « antigènes », les inducteurs de formation des anticorps.

En fonction des modalités de reconnaissance des antigènes, on peut distinguer deux divisions du système immunitaire :

  • la première concerne l’immunité aspécifique ou innée et constitue la première ligne de défense (surtout à travers la réaction inflammatoire). C’est la partie la plus ancienne sur le plan de l’évolution et elle est capable de reconnaître une situation de danger générale qui favorise de développement de l’immunité spécifique;
  • l’immunité spécifique, qui est la deuxième composante immunitaire. Cette dernière est également appelée « acquise » et comprend des médiateurs chimiques et cellulaires responsables d’une défense plus puissante et précise mais également plus lente.

 

Le fragile équilibre de notre cerveau...

Dans un cerveau normal, on trouve un équilibre entre les différents neurotransmetteurs*, tout particulièrement entre la dopamine et l’acétylcholine.

Dans les cas de maladies de Parkinson, la production de dopamine de la part des neurones spécifiques est fortement réduite tandis que celle d’acétylcholine est normale. Si l’on consomme des anticholinergiques, la production de cette dernière chute de façon importante si bien qu’au lieu de souffrir d’un manque d’un seul neurotransmetteur, on en perd deux.

Les personnes âgées consomment pour la plupart de nombreux médicaments, dont beaucoup de médicaments conseils, sans ordonnance, ou en automédication, et cette consommation entraîne souvent des effets secondaires tels qu’un déficit cognitif ou le syndrome parkinsonien liés à leur utilisation, des troubles qui pourraient souvent disparaître rien qu’en arrêtant la prise de ces produits.

Parfois, le blocage de la transmission des influx nerveux lié à l’acétylcholine peut entraîner des processus dégénératifs qui peuvent mener à la démence et l’arrêt du médicament peut améliorer le problème.

Selon cette logique, on utilise des inhibiteurs de la cholinestérase avec une action inhibitrice sur la dégradation de l’acétylcholine dans le cerveau en faisant en sorte qu’elle puisse exercer son action plus longtemps. Les célèbres médicaments contre la maladie d’Alzheimer (donépézil, rivastigmine, galantamine, etc.) agissent en ce sens mais, étant des médicaments de synthèse chimique, ils peuvent présenter des effets secondaires parfois graves.

"Les célèbres médicaments" ne sont pas utilisés principalement pour leur efficacité, mais parce qu’ils font partie des protocoles standardisés et utilisés inconsidérément."

La diffusion des informations néglige souvent ses capacités les plus constructives : celles d’inspirer une culture de participation au progrès scientifique qui inclue toutes les connaissances, y compris celles encore incomplètes mais potentiellement utiles aux individus pour se soigner et devenir plus conscients d’eux-mêmes, et donc plus libres.

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 L'épisode n°2 vous a plu ? Alors lisez-l'épisode n°1 de un de notre série "combattre les maladies du cerveau" :

Notre cerveau n’est pas prêt ! Il y a trop de réaction immunitaire anormale : L'observation de ces maladies renforcent encore la conviction de l’importance de la relation entre cerveau et intestin : Sclérose en plaques – Parkinson - Alzheimer - Myasthénie - SLA – Fibromyalgie - Syndrome de fatigue chronique

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EXTRAIT du livre de Paolo Giordo pour

PRÉVENIR ET SOIGNER PAR DES MÉTHODES NATURELLES

Les maladies du cerveau !

Combattre les maladie du cerveau


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L'équipe Macro Editions est heureuse de vous présenter son site internet constament mis à jour ! Chiara et Xavier sont là pour vous proposer le meilleur des publications. Nous espérons dans l'avenir pouvoir augmenter l'équipe de rédaction pour couvrir le plus largement possible les thèmes abordés ici, que l'on pourrait résumer par : un... Lire la biographie

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