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Notre cerveau n’est pas prêt ! Il y a trop de réaction immunitaire anormale

Alimentation et Régime

Notre cerveau n’est pas prêt ! Il y a trop de réaction immunitaire anormale

Alimentation et Régime

Notre cerveau n’est pas prêt ! Il y a trop de réaction immunitaire anormale
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L'observation de ces maladies renforcent encore la conviction de l’importance de la relation entre cerveau et intestin :

 Sclérose en plaques – Parkinson - Alzheimer - Myasthénie - SLA – Fibromyalgie - Syndrome de fatigue chronique


L'équipe Macro Editions

Au fil des millénaires et des modifications constantes et profondes des conditions de son environnement, l’être humain a été forcé de s’adapter. 

La durée et la forme de cette adaptation sont généralement scandées par des mutations génétiques, enzymatiques et cellulaires très lentes qui, pour se manifester, nécessitent en effet des périodes extraordinairement longues par rapport à la vie humaine.

Notre corps n’était pas prêt pour les modifications biologiques nécessaires à conserver l’équilibre face à la relative rapidité des changements. Des périodes bien plus longues auraient été nécessaires. Vive les Sclérose en plaques, Parkinson, Alzheimer, Myasthénie, SLA, Fibromyalgie et autre Syndrome de fatigue chronique

" Les changements environnementaux rapides,

tout particulièrement au fil du siècle dernier,

ont placé notre corps biologique dans une impasse

difficile à surmonter et, plus encore, à contrer. "

L’incidence de réaction immunitaire anormale crée des maladies neurodégénératives et/ou auto-immunes

L’auto-immunité placée dans un contexte de réaction immunitaire anormale qui, outre la gigantesque augmentation du nombre de manifestions allergiques, a continué à modifier notre réponse globale à l’environnement.

Dans ce cadre, on peut affirmer que la hausse de l’incidence des maladies neurodégénératives et/ou auto-immunes, telles que la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), etc. est une conséquence plus ou moins directe de l’impact que la dégénérescence environnementale a sur notre corps biologique.

Et il faut également inclure dans cet impact la myriade de polluants atmosphériques, alimentaires, physiques et psychologiques qui agressent violemment l’équilibre biologique et métabolique de notre organisme.

" La corrélation fonctionnelle, énergétique, endocrinienne

et immunitaire de nos organes fait que:

notre cerveau est la cible finale

de ce gigantesque déséquilibre."


En effet, les maladies auto-immunes et neurodégénératives sont en constante et rapide augmentation sans que la batterie pharmacologique conventionnelle puisse proposer un traitement valide et efficace.

 Ces observations renforcent encore la conviction de l’importance de la relation entre cerveau et intestin.

 

La perte de valeur nutritionnelle liée à notre alimentation bloquent l’absorption des nutriments

On trouve aujourd’hui sur le marché des huiles si stables qu’elles ont perdu la capacité de rancir, ou bien contenant des acides gras polyinsaturés qui, à cause de leur faible capacité de conservation, sont partiellement ou totalement oxydés.

Il faut en outre rappeler que la perte de valeur nutritionnelle liée à la consommation de dérivés de froment ne se limite pas aujourd’hui au raffinage. Depuis des années, nous avons l’habitude de consommer des céréales sélectionnées impitoyablement, si ce n’est modifiées génétiquement, afin d’en augmenter le rendement et de minimiser les risques d’attaques de parasites et maladies des plantes.

l'alimentation et les maladie du cerveau

Ces variétés largement diffusées sur le marché contiennent en outre une énorme quantité de gluten (environ le triple des plus anciennes variétés de céréales) – utile à l’élaboration industrielle car il facilite le pétrissage – avec des répercutions directes et progressives sur la santé humaine comme nous le verrons par la suite.

Enfin, il faut souligner la manière dont la consommation de lait a augmenté dans la société actuelle, suite à l’information trompeuse selon laquelle il constitue un aliment salutaire et complet. L’être humain est cependant la seule espèce a continuer de boire du lait après le sevrage.

Le lait de vache, étant destiné aux veaux, contient des substances (protéines, caséine et calcium) dans des proportions très différentes de celles du lait humain, mais aussi des hormones et produits chimiques issus de l’élevage d’animaux en stabulations. Ce lait est mal absorbé par l’homme et forme des grumeaux gélatineux dans l’intestin qui bloquent également l’absorption des autres nutriments.

 [...]

Pourquoi le vieillissement finit par la démence et autres formes de maladies dégénératives ?

La démence et autres formes de maladies dégénératives ne sont pas et ne représentent pas des conséquences normales de vieillissement, mais dépendent d’autres problèmes que nous évoquerons dans cet ouvrage.

Les neurones, c’est-à-dire les cellules nerveuses, sont en effet les cellules dont la longévité est la plus longue.
De nombreuses autres cellules du corps sont remplacées au bout de quelques semaines ou mois ; certaines, comme celles qui recouvrent le tractus digestif, ne survivent que quelques jours ; les cellules osseuses, qui ont une vie assez longue, sont remplacées au bout de quelques années ; les cellules nerveuses sont en revanche prévues pour durer toute la vie.
Le cerveau possède néanmoins la capacité d’en réparer et d’en créer de nouvelles.

Pendant plus d’un siècle, la pensée médicale conventionnelle a cru que notre cerveau était composé de cent milliards de cellules à la naissance et qu’il n’était pas capable d’en fabriquer de nouvelles, les existantes s’épuisant peu à peu.

"Ces dernières années, nous avons cependant découvert

que les neurones mêmes pouvaient être

remplacés et « restaurés » pendant la vie."


Les chercheurs ont observé la régénération de cellules nerveuses (appelée neurogenèse) au départ chez les animaux, notamment les singes.

De nos jours, grâce à la concentration en carbone 14 dans l’ADN des neurones humains, on a pu déterminer que plus d’un tiers des neurones de la région du cerveau nommée hippocampe était régulièrement rénové au cours de la vie.

Si les maladies neurodégénératives peuvent être différenciées grâce à leurs symptômes respectifs et à l’accumulation d’agrégats protéiques spécifiques, il existe des conditions qui sont en revanche communes à toutes !


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 L'épisode n°1 vous a plu ? Alors lisez-l'épisode n°2 de un de notre série "combattre les maladies du cerveau" :

C’est l’histoire de notre cerveau et de notre système immunitaire : 

Il faut certainement retrouver une vision plus globale et complète de l’individu, de l’environnement et de ses interactions physiologiques, pathologiques et psychologiques.

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extrait du livre de Paolo Giordo

Combattre les Maladies du Cerveau
PRÉVENIR ET SOIGNER PAR DES MÉTHODES NATURELLES

soigner les maladie du cerveau naturellement - livre

 

 


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