Un sens à la vie ? 10 raisons d'en parler...
Spiritualité
Spiritualité
"Souvent, quand je débats de la vie, de la façon d’en améliorer tel ou tel aspect, j’en viens presque inévitablement à parler de l’importance du développement personnel. Inévitablement, car d’où commence le discours ? : Si l’on souhaite affronter sérieusement le sujet, et pas simplement se plaindre de la météo, du gouvernement ou des trains en retard, on finit toujours par toucher le cœur du problème : soi-même et sa propre évolution. Notons qu’il s’agit là de la question centrale, que l’on parle de « la façon d’améliorer sa vie » ou de « la façon d’améliorer le monde », c’est-à-dire que l’individu ait une intention introvertie (vers l’intérieur) ou extravertie (vers l’extérieur) : Une fois que j’aurai changé, l’ensemble aussi changera étant donné que j’en fais partie. Ce concept, s’il est clair d’un point de vue psychologique, l’est encore plus d’un point de vue énergétique." Fosco Del Nero - Guide d'Existence : Sur les chemins de l'énergie intérieure
L'équipe Macro Editions
Changement intérieur ou extérieur ?
1. Si le changement intérieur est complet, la révolution extérieure, faite de sang et de violence, devient inutile, et c’est alors plutôt une évolution qui se produira - culturelle, sociale, politique, économique, etc. - en suivant évidemment l’évolution (spirituelle) intérieure précédente.
Tous les parcours se valent !
2. Aucun parcours n'est meilleur que les autres, puisque tous conduisent au même endroit. À la limite, il se peut qu’un parcours soit plus ou moins long qu’un autre, plus ou moins sinueux, plus ou moins panoramique, plus ou moins léger. Ce n’est pas à nous de juger le parcours d’autrui.
Une évolution globale, un éveil global
3. En nous élevant, notre énergie renouvelée influence tout le système, en contribuant à l’éveil non seulement des gens qui gravitent autour de nous, mais aussi de chaque être humain sur la planète. Et même non humain à vrai dire, étant donné que toutes les espèces arpentent, comme nous, le chemin de l’évolution.
Vers la fin de la période plus sombre et ignorante de l'humanité ?
4. Nous nous trouvons actuellement à la fin du Kali Yuga, la période la plus sombre et ignorante d’entre toutes… nous ne pouvons donc que remonter, aussi bien en termes d’énergie que d’images réfléchies dans le monde extérieur, ce qui est justement en train de se passer dans cette période d’éveil.
Une âme est en constante évolution
5. Le projet de l’Âme n’est pas fixe, du genre « construire une rangée de maisons » ou « enseigner la géographie ». C’est un projet énergétique qui concerne les apprentissages, avec des pièces du puzzle qui manquent encore, des émotions basses que nous n’avons pas encore transformées en émotions élevées.
Nos défauts = nos tremplins de vie !
6. Chaque défaut, et par défaut j’entends essentiellement les émotions inférieures que nous éprouvons le plus souvent, est potentiellement la qualité animique que nous sommes venus développer, et peut devenir cette qualité supérieure si nous transformons l’émotion inférieure qui la caractérise.
Parler de nous, est-ce parler des autres ?
7. Le moindre détail de notre vie, les personnes qui gravitent autour de nous et les évènements qui nous arrivent parlent littéralement de nous. Cela vaut aussi naturellement dans le sens contraire : quand nous parlons des choses de la vie ou des autres personnes, nous parlons en réalité de nous-mêmes.
Changer l'extérieur est-ce vraiment utile ?
8. En réalité, il n’y a qu’une chose à dire, et c’est beaucoup plus simple qu’un « chaos qui agit de manière très cohérente », étant donné la durée et la fréquence de certains phénomènes : très banalement, c’est notre énergie de fond qui produit certains résultats, et changer l’extérieur ne sert à rien.
Se plaindre des autres = se plaindre de soi-même ?
9. Plainte, jugement ou accusation sont du côté opposé de l’unité, l’amour et l’Âme. Ce dont je me plains, c’est en fait moi, puisque c’est moi qui l’ai évoqué et que cela fait partie de ma vie… Quand je me plains, je n’accepte en fait pas cette partie de moi qui a créé cette chose à l’extérieur.
Sens de la vie = sens de la maladie ?
10. Les maladies commencent sur le plan subtil, et sont donc un mal de l’Âme, puis se manifestent sur le plan physique, et deviennent un mal du corps. Tout est lié. Chacune de nos actions, chacune de nos pensées, a des répercussions non seulement sur le plan qui est le sien, mais aussi sur les autres.
LIRE L'INTERVIEW DE L'AUTEUR : Fosco del Nero (Guide d'exisence)
Extait du Guide d'Existence : Sur les chemins de l'énergie intérieure - Fosco del Nero