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À quoi servent les vitamines : mode ou revanche ?

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À quoi servent les vitamines : mode ou revanche ?

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À quoi servent les vitamines : mode ou revanche ?

"N’oublions pas les vitamines, que nous sommes habitués à trouver dans les rayons des supermarchés dans des emballages aussi hétéroclites que superflus, mais qui possèdent par contre de précieuses vertus si on les consomme à des doses et sous des formes adaptées.

Par exemple, on a raconté et on raconte tout et n’importe quoi sur la vitamine C pour nous décourager d’en prendre, en occultant volontairement ses faces cachées ou en diffusant des conceptions erronées ;

La vitamine C peut pourtant se révéler extrêmement utile pour lutter contre de graves maladies, à condition toujours de l’utiliser à bon escient.

Il en va de même des vitamines liposolubles (A, D, E et K), encore peu connues aujourd’hui ou, mieux, méconnues.

Nous avons découvert de nouvelles voies qui leur accordent une importance essentielle dans le traitement de maladies qui affectent l’homme. Et c’est également le cas d’autres compléments peu usités mais d’une grande efficacité clinique."

Paolo Giordo

 


L'équipe Macro Editions

Pourquoi prendre de la vitamine C avec son traitement de chimio ?

Les patients soumis à des traitements chimiothérapeutiques souhaitent très souvent prendre des compléments, comme par exemple de la vitamine C, mais les oncologues ont tendance à leur répondre que ce n’est pas indiqué et qu’il faut suivre exclusivement une chimiothérapie.

Ils expliquent leur position en affirmant que la chimiothérapie représente un puissant oxydant capable de détruire les cellules cancéreuses (et autres), et que la vitamine C, précieux antioxydant, ne serait dès lors pas compatible et pourrait même diminuer l’efficacité du protocole traditionnel.

La vitamine C un allié de votre chimiothérapie

 

Il n’existe pourtant aucune étude qui déconseille l’usage de la vitamine C au cours d’une chimiothérapie.

Au contraire, Kedar N. Prasad et ses collaborateurs, en épluchant une soixantaine de publications scientifiques, n’ont non seulement trouvé aucune référence sur le fait que les antioxydants altéraient l’effet thérapeutique de la chimiothérapie, mais ont découvert également qu’ils en augmentaient l’efficacité.

Dans son article qui a suivi, le même auteur a conclu que les antioxydants ralentissent la croissance des cellules tumorales et renforcent l’effet thérapeutique de la chimiothérapie. Ils protègent en outre les cellules saines des agressions toxiques de tels traitements.

Par ailleurs, de nombreux chercheurs ont souligné que la vitamine K3 (ménadione) agit en synergie avec la vitamine C pour participer à l’élimination des cellules tumorales. Ils ont également découvert un mécanisme qui se distingue de la nécrose, ou apoptose, que l’on a baptisé autophagie, dans lequel les vitamines C et K3 jouent justement un rôle synergique.

  • Toujours concernant les synergies, un autre aspect important a été mis en évidence : 
l’acide alpha-lipoïque augmente considérablement l’efficacité de la vitamine C dans la lutte contre les cellules tumorales ; en l’ajoutant au traitement, il est possible de réduire de moitié la dose de vitamine C nécessaire pour détruire les cellules cancéreuses.

 Arrêtons (ou limitons) le mythe de la carotte et la vitamine A !

On ne trouve pas de vitamine A dans des légumes comme la carotte et les tomates, mais uniquement des bêta-carotènes, qui doivent ensuite être transformés au niveau du foie en vitamine A :

  • nous ne pouvons cependant absorber que 20 à 50 % de substance active, et il semblerait que plus nous consommons de carottes, plus ce pourcentage diminue.
  • même lorsque nous absorbons du bêta-carotène, il n’est transformé en vitamine A que dans une proportion de 1:1
  • des études affirment que, pour produire une unité de vitamine A, il faut 6 à 48 unités de bêta-carotène.

limiter sa source de vitamine A au bêta-carotène est risqué

Ceux qui se fient dès lors au bêta-carotène en tant qu’unique source de vitamine A risquent de souffrir de sa carence.

Des études menées sur des femmes enceintes en Indonésie qui consommaient énormément de légumes verts et qui, théoriquement, auraient dû présenter un taux élevé de vitamine A, en manquaient en réalité.

Par ailleurs, un petit pourcentage de personnes éprouvent des difficultés à transformer la vitamine A à partir du bêta-carotène, comme par exemple :

Ces personnes ont souvent besoin de puiser la vitamine A de sources animales telles que le beurre ou le jaune d’oeuf.

  • On a assisté au fil du temps à un paradoxe :
une guerre contre les graisses (animales ou végétales) est née, qui tient accidentellement pour responsable le cholestérol, en oubliant que si notre alimentation ne comporte aucune graisse, certaines vitamines, comme la A, ne peuvent être absorbées, même si nous nous gavons de carottes.

 La substance "X" : les vitamines (liposolubles) A, D, E et K 

Le docteur Weston Price, ambitieux dentiste américain, se demanda si les pathologies dentaires étaient déterminées par des éléments externes comme, par exemple, le régime alimentaire, et dédia sa vie à établir des liens entre santé dentaire, état physique et alimentation :

  • Il constata que les populations vivant à l’écart de la civilisation possédaient une excellente santé, présentaient des dents saines et n’utilisaient ni dentifrice ni brosse à dents ;
  • ils faisaient également montre d’une résistance surprenante à la maladie.
  • lorsqu’une personne quittait ces lieux considérés comme sauvages pour s’établir en des endroits plus “civilisés”, modifiant ainsi son style de vie, elle contractait rapidement les mêmes maladies qui touchaient la population occidentale.

Le lien étroit entre l'alimentation et les problèmes dentaires

Les caries dentaires arrivaient en première ligne et la relation entre la santé dentaire et le développement des cardiopathies fit son apparition.

  • Le savant américain fit enfin une autre découverte :

dès qu’une génération de ces prétendus “sauvages” avait commencé à suivre le régime alimentaire occidental, la tête et le visage de leurs enfants, autrement dit de la génération suivante, se modifiaient, c’est-à-dire que la partie crânio-faciale se réduisait, les dents se chevauchaient et on assistait à une malocclusion dentaire due au rétrécissement des mâchoires. Il supposa qu’il leur manquait une substance absente de l’alimentation occidentale, qu’il baptisa “substance X”.

Price arriva à la conlusion que le régime alimentaire occidental contenait un quart des minéraux et un dixième des vitamines liposolubles par rapport à l’alimentation “primitive”.

D’après lui, il était par ailleurs impossible d’utiliser les minéraux contenus dans les aliments sans la présence indispensable des vitamines liposolubles ("subtance X") et cela se reflétait directement tant sur la santé dentaire que sur l’état général, se traduisant particulièrement par des maladies chroniques et dégénératives.


Lire 10 considérations de l'auteur sur notre almentation et notre bonne santé...


 

EXTRAITS du livre de Paolo Giordo

 

 


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