L'origines de l’homme est le fruit de l’imagination !
Actualités et Conspirations
Actualités et Conspirations
« Ce qui est important en science, c’est de découvrir non de nouveaux faits, mais plutôt de nouvelles façons de les penser. » William Henry Bragg
L'équipe Macro Editions
Après avoir durant des mois dialogué en ligne avec le biologiste moléculaire Pietro Buffa, j’ai le plaisir de le rencontrer un jour à Palerme. Attablés devant quelques plats typiques, nous poursuivons alors notre échange d’informations et d’opinions sur les possibles origines de l’homme, qui restent encore à établir définitivement, et en particulier du sapiens.
Naturellement, je mets à disposition les informations dont je dispose : les récits que nous ont laissés les anciens, et qui proviennent pour ainsi dire de tous les continents. Sur la planète, racontent-ils, ont oeuvré des individus qui – par des interventions que les auteurs vivant il y a plusieurs millénaires ont décrites avec les concepts et la terminologie dont ils disposaient – ont en fait « fabriqué l’homme ».
Lui, homme de science, me dit qu’il reste encore beaucoup de questions sans réponses mais que, dans le même temps, il faudrait commencer à prendre en considération l’hypothèse selon laquelle les textes anciens ne sont pas le fruit de l’imagination sans borne de peuples qui essayaient de se représenter d’une manière ou d’une autre la réalité des faits, mais peut-être l’enregistrement d’épisodes réellement survenus.
Il me précise que le récit biblique de la création d’Adam, et surtout de sa femelle Ève, correspond en substance à nos protocoles actuels de clonage, à un détail près : la Bible ne prévoit pas la présence d’une femelle intermédiaire, nécessaire pour l’opération.
Ceci peut toutefois s’expliquer de différentes manières, qu’il ne me revient pas d’analyser ici. Ce qui importe en effet, c’est de constater qu’une partie de la science officielle commence à prendre sérieusement en considération l’hypothèse selon laquelle les anciens en savaient beaucoup plus que ce que nous imaginons aujourd’hui.
Un collaboration entre science moderne et connaissances anciennes
Si on lançait des recherches destinées à vérifier la crédibilité des récits millénaires qui présentent de qui nous sommes les enfants et comment nous avons été créés, peut-être obtiendrait-on des réponses à des questions qui aujourd’hui en sont dépourvues.
Il est nécessaire de savoir d’où viennent les séquences de patrimoine génétique qui font que nous sommes ce que nous sommes, et comment nous sommes devenus tels que nous sommes en un temps aussi court. Les deux écoles de pensée dominantes (évolutionnisme et créationnisme) sont incapables de nous le dire.
Pourquoi les singes, du point de vue de l’évolution, sont-ils « immobiles » depuis plusieurs millions d’années, alors que nous, nous avons accompli d’inexplicables bonds en quelques centaines de milliers d’années ?
L’hominisation est un processus qui demande encore des explications satisfaisantes. Les esprits ouverts sont disposés à parcourir des chemins inhabituels mais non fantaisistes, inexplorés mais non privés de fondement.
Ce livre indique une voie nouvelle mais concrète, basée sur une hypothèse : si, avec humilité et sérieux, on abandonne les règles rigides du dogmatisme (qui conditionne souvent de la même manière la science et la religion) et que l’on tente de considérer comme potentiellement vérifiables les récits anciens, on s’aperçoit que les questions ouvertes ont peut-être des réponses.
C’est de cette manière que sont abordés ici les thèmes de l’accouchement risqué, des poils superflus, de la pensée symbolique, du langage – que l’on considère comme allant de soi mais qui ne va pas de soi du point de vue de l’évolution – de nos séquences géniques, qui n’ont aucune correspondance ancestrale, et ainsi de suite.
Des hypothèses voient le jour, une nouvelle théorie éclot, en mesure d’ouvrir des chemins inattendus vers la compréhension de qui nous sommes et d’où nous venons.
L’auteur nous rappelle que des interventions telles que le clonage ne sont peut-être pas nouvelles, puisque les rabbins soutiennent que les auteurs de la Bible les connaissaient et en parlaient…
Le livre que vous vous apprêtez à lire pose très intelligemment des questions et formule des hypothèses de réponses que la science devra nécessairement prendre en considération.
On pourra ainsi découvrir que science moderne et connaissances anciennes peuvent non seulement cohabiter mais aussi collaborer, et que l’abandon des dogmatismes pourra être le prélude à une nouvelle ère de recherches et d’études annonciatrices de connaissances potentiellement surprenantes et libératrices.
Préface de Mauro Biglino