Et si « Nibiru » était « habitée » ?
Actualités et Conspirations
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Ce que ne disent pas, et pour cause, les astrophysiciens qui ont « découvert » la 9e planète…
L'équipe Macro Editions
Si, après avoir acquis la certitude de son existence, les scientifiques du xxie siècle corroborent bien le « savoir » de leurs aïeux sumériens qui le tenaient eux-mêmes des Ilu, les « Très-Hauts », en calculant l’orbite de la planète proche de 3 600 ans, voilà qui signifierait que ce que révèlent les « textes de la création » sur tablettes d’agile réinterprétés par Zecharia Sitchin sont, selon une haute probabilité, très fiables. Il n’est pas possible que « l’imagination » ou le « hasard » aient conduit les scribes sumériens à « inventer » une planète géante, et qu’ils aient connu la période orbitale réelle de cette planète.
Une autre « information » cruciale serait de nature à corroborer encore davantage l’idée que les « mythologies » sumériennes reposent sur un savoir scientifique solide : Zecharia Sitchin, par son travail de recoupement de quarante années, en est venu à la conclusion que ladite planète géante orbitait dans le sens contraire des aiguilles d’une montre (ce qui explique bien des anomalies du système solaire). Si, par un exploit de calcul encore impalpable, nos astrophysiciens en venaient à confirmer cette donnée, alors le doute ne serait plus permis : ce que véhiculent ces textes dont l’origine se perd dans la nuit des temps sera définitivement authentifié.
Mais alors, si le chiffre de la période orbitale, si le mouvement rétrograde de la planète venaient à se confirmer dans les mois ou les années à venir, que penser de ce que révèlent des textes si savamment « informés » ? Qu’ils sont porteurs, inéluctablement, d’un message inouï : car ils affirment que cette planète abrite une civilisation extraterrestre bien antérieure à l’humanité terrestre. Et tenez-vous bien, car votre vie, celle de toute l’humanité, en sera bouleversée à jamais : ce que révèlent l’épopée de la création sumérienne, bien d’autres textes « mythologiques » et…la Bible elle-même, c’est que ces extraterrestres, les Anunnaki de l’épopée sumérienne, ont créé… l’homme !
Mais patience : avant de sauter ce pas de géant et d’affronter ce bouleversement absolu, attendons l’affinement des chiffres des astrophysiciens. S’ils « osent » les publier !
Olivier Magnan, journaliste et traducteur de l’œuvre de Sitchin
Ce que ne disent pas, et pour cause, les astrophysiciens qui ont « découvert » la 9e planète….
Extraits de CosmoGenèse (2003) :
C’est dans son premier livre, La 12e planète, paru en 1976, que Zechariah Sitchin nous livre pour la première fois sa prodigieuse vision d’une théorie forgée dans le secret de ses études et de ses recherches. De la Bible à une myriade de textes essaimés, démontre-t-il, surgit un message du lointain passé : la planète géante Nibiru abrite la vie, l’évolution a, sur cette planète du système solaire, engendré des êtres intelligents, bien plus anciens que l’humanité qui n’existait pas quand ils ont réussi à se poser sur cette planète sans nom, la Terre*. Ils en ont exploité une richesse vitale pour eux-mêmes, menacés par une altération de l’« atmosphère » qu’il respirent, proche de celle de la Terre : l’or, qu’ils réinjectent dans l’air qu’ils respirent.
C’est à ce moment que la thèse de Zecharia Sitchin, toujours ancrée dans ses recherches textuelles et forgée par son génie, prend tout son sens : c’est pour s’assurer le travail d’une main d’œuvre docile que les « Anunnaki » (les Anunna venus de Nibiru sur « ki », la terre) auraient génétiquement modifié un hominidé (Homo Erectus ?) déjà présent sur Terre par le jeu de l’évolution pour créer l’Homo Sapiens, l’homme moderne, nous !
Fou ? Aberrant ? Inepte ? Impossible ?
Pourtant, plusieurs textes patiemment rassemblés par Zecharia Sitchin décrivent très exactement cette manipulation, en des termes d’une précision moderne déconcertante.
Il y a encore peu de temps, il était inconcevable qu’une planète géante de plus orbitât au-delà de Pluton dans le système solaire. Ce qui n’est pas déraisonnable, désormais, c’est d’examiner sans a priori les démonstrations patientes et documentées de Zecharia Sitchin, quitte à les contester.
Le grand effort de traduction et de publication de l’œuvre de Sitchin par Macro édition nous donne à tous le moyen de juger sur pièces.
* Comment la vie peut-elle exister sur une planète « glacée » si éloignée du Soleil, ont protesté à juste titre les adversaires de la théorie. À cette même question que je lui ai posée, Zecharia Sitchin a eu cette réponse : « Sans pouvoir l’argumenter sur des textes par nature absents, je réponds qu’une planète au cœur chaud – à l’image de celui de la Terre – est susceptible d’entretenir la vie et son évolution dans un espace intérieur de la planète à l’abri du froid spatial. » OM
« L’histoire biblique de la création de l’homme constitue bien entendu le nœud du débat – parfois amer – qui oppose continuellement les créationnistes aux évolutionnistes. Parfois par tribunaux interposés, mais en tout cas, systématiquement au sein des conseils d’universités, notamment aux États-Unis. On l’a souligné déjà, les deux partis adverses feraient mieux de relire la Bible, si possible dans sa langue originelle, l’hébreu. Le conflit s’évanouirait à partir du moment où les évolutionnistes reconnaîtraient les bases scientifiques de la Genèse et où les créationnistes prendraient conscience du véritable contenu des textes.
Si l’on oublie les assertions naïves de ceux qui pensent mordicus que les « jours », dans le récit de la Création du Livre de la Genèse, signifient littéralement vingt-quatre heures, et non pas des ères ou des phases, le récit de la Bible décrit une évolution en accord avec la science. Les chapitres précédents ont dû contribuer à l’établir. Un obstacle insurmontable surgit dès lors que les créationnistes s’arc-boutent sur la certitude que nous, espèce humaine, homo sapiens sapiens, avons été créés instantanément, sans prédécesseurs engagés dans un cycle évolutif, par « Dieu ».
« Alors Yahvé Dieu modela l’homme avec la glaise du sol, insuffla dans ses narines une haleine de vie, et l’homme devint un être vivant. » C’est l’histoire de la création de l’homme décrite au chapitre 2, verset 7, du Livre de la Genèse – version de la Bible de Jérusalem. Texte de foi absolue des zélotes créationnistes.
Auraient-ils étudié le texte en hébreu – après tout la véritable version originale –, qu’ils auraient découvert, primo que l’acte de la création est attribué à un certain Élohim – un terme pluriel qui devrait au moins se voir traduit par « dieux », et non pas « Dieu ». Secundo, que le verset cité explique également la raison de la création de « l’Adam » : « […] il n’y avait pas d’homme [d’Adam] pour cultiver le sol(1). » (Genèse, 2, 5). Voilà deux allusions importantes – et inquiétantes – à propos de ceux qui ont créé l’homme, et pourquoi.
Reste, bien sûr, la question de l’autre version – antérieure – de la création de l’homme, dans Genèse 1, 26-27. D’abord, « Dieu dit : “Faisons l’homme [l’Adam] à notre image, comme notre ressemblance”. » Puis, exécution : « Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa, homme et femme il les créa(2). » La version biblique se complique par le second récit de la création du chapitre 2 : on apprend que « l’Adam » était seul jusqu’à ce que Dieu lui procure une contrepartie femme à partir de sa « côte ».
Laissons les créationnistes à leur cas de conscience – décider laquelle des versions sera le dogme –, pour nous concentrer sur l’idée de dieu pluriel. La suggestion de créer l’homme provient d’une entité collective qui s’adresse à une audience collective : « Faisons l’homme [un Adam] à notre image, comme notre ressemblance » [c’est nous qui soulignons]. Que se passe-t-il donc vraiment ? doivent impérativement se demander ceux qui croient en la Bible.
Les exégètes de la Bible comme les spécialistes orientalistes savent maintenant que les rédacteurs du Livre de la Genèse ont compilé et condensé des textes beaucoup plus anciens et nettement plus détaillés, à l’origine composés à Sumer. Ces textes que j’ai amplement passés en revue et largement cités dans La 12e Planète, en donnant toutes les sources, attribuent la création de l’homme aux Anunnaki.
Grâce à de très longs textes comme l’Atra Hasis, nous apprenons que cette création est intervenue quand les astronautes de base venus sur terre pour travailler dans les mines d’or se sont mutinés(3). En Afrique du Sud, le travail éreintant des mines d’or était devenu insoutenable. Enlil, leur commandant en chef, avait convié le dirigeant de Nibiru – son père, Anu – à une assemblée des Grands Anunnaki, et il avait exigé une punition sévère à l’encontre de son équipe rebelle. Mais Anu s’était montréplus compréhensif. « De quoi les accuse-t-on ? » demanda-t-il après avoir entendu les plaintes des mutins. « Leur travail était pénible et grande leur détresse ! » Il n’existe donc pas d’autre moyen d’exploiter l’or ? s’était-il clairement enquis.
Si, il y en a un, avait répliqué son autre fils, Enki (demi-frère et rival d’Enlil), brillant patron de la science anunnaki. Il est possible de libérer les Anunnaki de ce labeur insupportable en leur substituant une main-d’œuvre pour les travaux difficiles : créons un travailleur primitif !
L’idée plut aux Anunnaki assemblés. Plus ils en discutaient, plus ils réclamaient à grands cris un tel travailleur, un Adamu, en charge des gros travaux. Mais, demandèrent-ils à Enki, comment peux-tu créer un être suffisamment intelligent pour utiliser des outils et obéir aux ordres ? Comment réussir la création, « l’accouchement » d’un tel travailleur primitif ? Au fond, l’entreprise était-elle envisageable ?
Un texte sumérien a immortalisé la réponse que donna Enki aux Anunnaki incrédules, mais qui voyaient dans la création d’un Adamu la solution à leur terrible corvée :
« La créature dont vous avez prononcé le nom –
ELLE EXISTE ! »
Tout ce que vous avez à faire, ajouta-t-il, c’est…
« Lui greffer l’image des dieux(4). »
Ces mots sont la clé du mystère de la création de l’homme. D’un coup de baguette magique, ils devraient résoudre une bonne fois pour toutes le conflit entre évolutionnisme et créationnisme. Les Anunnaki, les Élohim des versets bibliques, n’ont pas créé l’homme à partir de rien. Une créature existait déjà, sur Terre, produit de l’évolution. Pour sa mise à jour au degré d’aptitude et d’intelligence requis, il suffisait « d’imprimer [greffer] en lui l’image des dieux », l’image des Élohim eux-mêmes.
Afin de ne pas compliquer la démonstration, désignons la « créature » qui préexistait sous l’expression d’homme-singe/femme-singe. Le processus envisagé par Enki était de « greffer », « d’imprimer » dans la créature terrienne « l’image » – le caractère interne, génétique – de l’Anunnaki. Exprimé autrement, il s’agissait de « mettre à niveau » l’homme-singe par manipulation génétique, et ainsi, par ce coup de pouce dans l’évolution, laisser émerger « l’homme » – l’homo sapiens.
Le terme Adamu, qui a visiblement inspiré le nom biblique « Adam », et l’utilisation du mot « image » dans le texte sumérien, repris tel quel dans le récit biblique, ne sont pas les seuls indices de l’origine sumérienne et mésopotamienne de l’histoire de la création de l’homme dans la Genèse. L’utilisation des pronoms pluriels, la représentation d’un groupe d’Élohim parvenus à un consensus suivi d’effet, tout ce qui restait énigmatique dans la Genèse s’éclaire à la lumière des sources mésopotamiennes.
Qu’y lit-on ? Que les Anunnaki en conseil résolurent de mener le projet à bien et que, sur les conseils d’Enki, ils en confièrent la responsabilité à Ninti, leur « doctoresse en chef » :
Ils appelèrent, mandèrent la déesse, sage-femme des dieux, accoucheuse émérite,
[et lui dirent :]
« À un être tu donneras vie, des travailleurs tu créeras !
Crée un travailleur primitif,
Capable de supporter le joug !
Fais en sorte qu’il supporte le joug imposé par Enlil,
Qu’il prenne pour lui le labeur des dieux ! »
De là à affirmer avec certitude que les scribes de la Genèse tirèrent une version abrégée du récit Atra Hasis d’où sont extraits les vers ci-dessus, ou de textes sumériens beaucoup plus anciens, il y a un pas que nous ne franchirons pas. Il n’empêche que nous avons sous les yeux le contexte des événements qui ont conduit au besoin de créer un travailleur primitif, l’assemblée des dieux, la suggestion et la décision d’agir, de le créer.
Ce n’est qu’en prenant conscience de ce qu’étaient les sources de la Bible que nous pouvons comprendre l’histoire des Élohim – les Élevés, les « dieux » –, cette histoire qui dit : « Faisons l’homme [l’Adam] à notre image, comme notre ressemblance ». Pourquoi ? Pour remédier à cette situation : « […] il n’y avait pas d’homme [d’Adam] pour cultiver le sol. »
Dans La 12e Planète, toujours, j’insiste sur cette réalité : avant que la Bible ne commence à relater l’histoire et la généalogie d’Adam, personnage spécifique, le Livre de la Genèse cite l’être nouvellement créé comme « l’Adam », terme générique. Non pas une personne nommée Adam, mais, littéralement, « le Terrien ». Signification d’« Adam », issu de la même racine qu’Adamah, la « Terre ». Mais il s’agit au surplus d’un jeu de mots bâti sur dam, « sang », allusion, comme nous allons bientôt le voir, à la façon dont l’Adam fut « fabriqué ».
Le mot sumérien « homme » est lu. Dont la racine n’évoque nullement « être humain » mais bien plutôt « travailleur, serviteur ». Combiné à des noms d’animaux, il implique une idée de « domestication ». L’akkadien, dans lequel est rédigé l’Atra Hasis (et d’où dérivent toutes les autres langues sémites), désigne l’être nouvellement créé sous le terme de lulu, « homme », comme en sumérien. Mais il sous-tend en outre la notion de « mélange ». Ainsi, dans un sens sous-jacent, lulu signifie « le mélangé ». Allusion à la manière dont fut créé l’Adam – « le Terrien », littéralement « Celui du sang ».
On a exhumé quantité de textes gravés sur des tablettes d’argile mésopotamiennes, plus ou moins bien conservés ou fragmentés. Dans la foulée de la publication de La 12e Planète, on a réexaminé les « mythes » de création des autres peuples de l’Ancien et du Nouveau Monde. Tous gardent le souvenir d’un processus de mélange d’un élément divin avec un élément terrestre. Dans la plupart des cas, l’élément divin y est décrit comme une « essence » émanant du sang d’un dieu, et l’élément terrestre comme de « l’argile » ou de la « boue ».
Il n’est pas douteux que ces mythes tentent de raconter la même histoire : tous évoquent un couple premier. Leur origine ne peut se trouver que dans les récits de Sumer, les plus riches en descriptions des plus minutieuses et des plus détaillées sur l’exploit merveilleux : le mélange des gènes « divins » des Anunnaki avec les gènes « terrestres » de l’homme-singe, par la fécondation d’un ovule de femme-singe.
Il s’agissait de fertilisation in vitro – dans des éprouvettes, comme le figure ce sceau cylindrique (Figure 51). Et, comme je l’affirme depuis que la science moderne et la médecine ont réussi la même prouesse : Adam a été le premier bébé-éprouvette… »
(1) Fidèle au texte hébreu originel, l’auteur restitue le mot « Adam/l’Adam » pour désigner celui que la Bible de Jérusalem traduit par « homme/l’homme ». ndt.
(2) Version King James : « God said, Let us make men in our image, after our likeness”. “And God created man in his own image, in the image of God created He him; male and female created He them. »
(3) Dans La 12e Planète, en effet, Zecharia Sitchin, citant les récits akkadiens et sumériens, rappelle que les Anunnaki avaient établi des colonies de mineurs sur terre (à la recherche de l’or vital pour leur atmosphère, cf. supra). Le lecteur pourra contrôler les textes traduits du cunéiforme, cités en bibliographie. ndt.
(4) Fidèle au texte original, l’auteur utilise le verbe anglais bind upon. Soit « panser », « faire absorber complètement », « lier », « imprimer ». Il nous a semblé licite de rendre l’image « chirurgicale » du mot par ce verbe français précis, tout en laissant au lecteur la libre appréciation de la nuance. ndt.
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