Une planète géante de plus dans le système solaire ?
Actualités et Conspirations
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Zecharia Sitchin l’affirme depuis 40 ans !
L'équipe Macro Editions
La découverte « par les chiffres » des astrophysiciens Mike Brown et Konstantin Batygin – une 9e planète dans notre système solaire – a fait l’effet d’un météore dans le ciel des médias : bien au-delà de Neptune et de Pluton, qui n’est plus considéré comme une planète à part entière en raison de sa petite taille, orbite une géante encore invisible…
On ne la voit pas, mais elle existe forcément : elle impose sa force gravitationnelle à nombre d’autres compagnons discrets des planètes « officielles » qui tournent autour du Soleil depuis 4,5 milliards d’années. Autrement dit, elle « s’annonce ».
D’emblée, celle que tous cherchent depuis des décennies sous l’appellation de « planète X » reçoit un « nom », un chiffre plutôt, l’ordinal 9. Si Pluton comptait encore, elle serait la « 1Oe ».
Zechariah Sitchin, lui, depuis quarante ans, affirme l’existence de la… 12e planète.
Pourquoi 12e ?
Des astronomes d’il y a 4 000 ans qui comptaient en base 12…
Ce journaliste scientifique naturalisé américain à l’accent slave sait depuis belle lurette qu’il existe une autre planète dans le système solaire. Il la décrit à partir de 1976 dans un livre qui porte lui aussi un numéro ordinal : La 12e planète. Est-il astrophysicien ? Non. Calculateur émérite ? Pas davantage. Mais il s’est initié très tôt aux « récits » que les Sumériens ont soigneusement relayés, depuis quatre mille ans, en les recopiant sur l’une de leurs inventions exceptionnelles, la tablette d’argile.
La civilisation de Sumer en Mésopotamie (actuel Irak) avait « inventé » l’écriture (cunéiforme), mais ses archives plongeaient dans un incommensurable passé. Et ce que Sitchin lisait dans ces textes, les plus anciens connus de l’humanité, dans la foulée des explorateurs – les assyriologues – qui les avaient exhumés et décryptés, tenait en ceci : il existe une 12e planète, géante, qui orbite autour du Soleil.
Pourquoi « 12 » ? Parce que les astronomes sumériens, akkadiens et assyriens comptaient, en base 12, le Soleil, Mercure, Vénus, la Terre, la Lune, Mars, Jupiter, Saturne, Neptune, Uranus et… Pluton (Gaga, en sumérien). Onze membres du système solaire à part entière, plus une, La 12e planète, qui donna son titre au premier livre du journaliste curieux (The Twelth Planet). Il avait lu avant tout le récit de la genèse, précurseur de la Bible, connu sous le nom d’Épopée de la création.
En vérité, Zecharia Sitchin, contrairement aux exégètes des écrits mésopotamiens, n’avait pas lu cette Épopée de la création (Enuma elish) gravée sur ses sept tablettes comme un imaginaire mythologique, mais bel et bien à la manière d’un manuel d’astronomie : comment les ancêtres des Mésopotamiens, évanouis dans l’éternité du temps, desquels les scribes d’il y a quatre mille ans tenaient le récit de la création, pouvaient-ils bien connaître avec précision la composition du système solaire (Pluton ne fut découvert qu’au xxe siècle…) ?
Et surtout, comment pouvaient-ils affirmer la présence d’une planète de plus, qu’ils avaient baptisée Nibiru, qualifiée de planète géante, celle que Brown et Batygin viennent de détecter à force de calculs d’ordinateurs ?
La trace d’un savoir scientifique perdu
Zecharia Sitchin connut le succès aux États-Unis, porté par un public curieux et avisé… mais jamais les milieux scientifiques ne lui emboîtèrent le pas. Il fut reconnu en outre dans pas mal de pays de par le monde, sauf… en France. Les éditeurs ne voulaient pas publier les traductions des quinze ouvrages qu’il aura écrits avant sa disparition en 2011, tous consacrés à un sujet unique, la 12e planète, et ce qu’elle implique pour l’humanité.Jusqu’au moment où un courageux éditeur italien, Macro édition, a voulu faire connaître aux publics italophones et francophones l’œuvre exceptionnelle de celui qui, le premier, a discerné à travers une prétendue mythologie la trace d’un savoir perdu.
À l’heure où le monde entier se passionne pour la découverte d’une planète géante supplémentaire qui, un jour, s’approchera du Soleil et de la Terre, hautement visible, et sans doute dévastatrice, il est grand temps de se jeter sur les livres de celui qui reçoit, aujourd’hui, la confirmation spectaculaire de ce qu’il a toujours su… en lisant les scribes du passé.
Encore un peu de temps, et les « inventeurs » de la planète indument et provisoirement baptisée « 9 » comprendront que ce membre lointain de la famille solaire n’orbite pas en 10 000 ou 20 000 ans, mais bien en 3 600 ans, chiffre gravé dans l’argile par les astronomes mésopotamiens !
Car s’ils ont eu raison pour l’existence d’une planète géante, pourquoi auraient-ils tort à propos de ce chiffre incroyablement précis qui figure partout dans les épopées de la première civilisation humaine : la 9e ou 12e planète tourne autour du Soleil en 3 600 années.
Pour connaître le passé et l’avenir de l’humanité, il faut lire Sitchin
Le 12e membre du système solaire existe, c’est désormais une certitude.
D’ici peu de temps, les astrophysiciens vont découvrir beaucoup à son sujet. Sans doute même l’incroyable, l’inouï, l’impensable… Pour le découvrir, il faut lire Sitchin. Alors, l’humanité aura rendez-vous avec son destin.
Olivier Magnan
Traducteur de Zecharia Sitchin
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