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Liens entre Dieu, les Testament(s) et Mauro Biglino

Histoire et Mystères

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Liens entre Dieu, les Testament(s) et Mauro Biglino
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  • Après avoir passé de nombreuses années comme traducteur d’hébreu massorétique ;
  • Après avoir traduit dix-sept livres de l’Ancien Testament à partir de la Biblia Hebraica Stuttgartensia (Codex de Léningrad),publiés par les Edizioni San Paolo ;
  • Après avoir écrit quatre livres sur la Bible (en 2016), après six années d’activités publiques et avoir vendu plus de 100 000 exemplaires de mes livres ;

Mauro Biglino propose à présent L’Ancien et le Nouveau Testament, des livres sans Dieu, la suite logique de La Bible n’est pas un livre sacré. Laissons maintenant la parole à Mauro :


L'équipe Macro Editions

Dans ce nouvel ouvrage, j’ai souhaité insérer une première série de réflexions sur le Nouveau Testament, de manière à inclure celui-ci sans l’ombre d’un doute dans l’affirmation clamée dans le titre.


J’ai également choisi de répondre de manière circonstanciée à la plus importante des contestations que m’adresse l’exégèse judéo-chrétienne, celle qui porte sur le terme Elohim :

  • Pluriel ou singulier ?
  • Peut-on ou non le traduire par Dieu ?

On le comprendra aisément : ce sont là les questions de fond, toutes les autres n’en sont que le corollaire et sont bien moins importantes.

Il est en effet fondamental d’établir si la Bible parle ou non du Dieu unique. Cet ouvrage est donc un cheminement sur différents thèmes, parcouru avec la volonté de mettre en avant la question fondamentale de notre relation avec la Bible, à propos de laquelle je m’interroge :

Les détenteurs du savoir nous ont-ils vraiment rapporté ce que contient l’Ancien Testament ?

On le comprendra en lisant le présent ouvrage, la question concernant le Nouveau Testament est nécessairement autre : ses auteurs ont-ils écrit la vérité ?

Pour moi, la réponse va de soi dans les deux cas : absolument pas.

  • En ce qui concerne l’Ancien Testament, ils ne se sont pas contentés de ne pas raconter ce qu’il contient, ils sont allés bien plus loin, en inventant délibérément et sans vergogne des choses qui ne s’y trouvent pas.
  • Pour ce qui est du Nouveau Testament, les auteurs de la supercherie ont surtout été les rédacteurs, ceux qui ont inventé la figure christique, bien différente de la figure historique du prédicateur judéo-messianique. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi un titre aussi affirmatif et pouvant paraître provocateur.

Je fournirai également des réponses à des critiques et des observations que les représentants des diverses, et souvent contradictoires, doctrines ont formulées à l’encontre des hypothèses émises dans mes précédents travaux. Ce cheminement nous conduira du premier verset de la Genèse jusqu’à une réflexion, certes pour le moment synthétique, sur la supercherie finale : d’Adam à Jésus.

Une histoire que les détenteurs du savoir ont bâtie de toutes pièces, en utilisant des textes prétendument sacrés comme prétexte, comme point de départ à leur création artificielle. J’ai délibérément choisi de réduire au maximum les citations textuelles des versets et des références bibliographiques, en nombre dans mes autres livres.

Par conséquent, la bibliographie va à l’essentiel et contient exclusivement des textes en rapport direct avec les thèmes abordés. Les citations textuelles des versets hébraïques, elles, se sont avérées nécessaires dans les chapitres où je traite des objections des exégètes judéo-chrétiens.

Critiques et citations de Mauro Biglino

À propos de citations et de bibliographie, je dois également dire, toutefois, qu’au cours de ces six années d’exposition publique de mes travaux, les professionnels de la critique ont fait montre d’un comportement très curieux et peu cohérent :

  • S’ils entendent ou lisent une affirmation en accord avec leurs idées, jamais ils n’en réclament la source ni ne demandent qu’elle soit contextualisée. Ils l’acceptent telle qu’elle a été formulée, sans poser d’autres questions, même si ladite affirmation peut se révéler être une pure invention ou la bêtise du siècle.
  • À l’inverse, s’ils entendent ou lisent une thèse ou une hypothèse ne coïncidant pas avec leurs idées ou, pire, remettant leurs idées en question, alors ils en réclament aussitôt la source, font entrer en jeu le concept d’allégorie ou de métaphore, appliquent la contextualisation justificatrice, etc.

Par exemple :

  • si j’écris que Yahvé aimait l’humanité tout entière (ce qui va à l’encontre de tout l’Ancien Testament), les critiques ne pipent mot.
  • Si, à l’inverse, j’écris que Yahvé a ordonné de massacrer femmes, enfants et vieillards (une chose que l’on trouve à plusieurs reprises dans le texte), ils m’enjoignent aussitôt de montrer où cela est écrit, dans quel contexte s’insèrent les faits en question. Et ils m’admonestent en soutenant que le texte doit être interprété, compris, lu de manière allégorique ou métaphorique, qu’il doit être replacé dans son contexte historique et culturel, qu’il faut en extraire la signification profonde, ésotérique, etc. Ils vont même jusqu’à affirmer que l’on n’est pas certain que les passages concernés, mais seulement ceux-là, aient vraiment été inspirés par Dieu.

Alors moi, je demande : et, les autres, a-t-on la preuve qu’ils l’ont été ?

Je n’ai jamais entendu dire que le premier verset de la Genèse aurait une signification allégorique. Pourtant, ce verset, précisément, contient une affirmation qui n’a rien à voir avec ce qui nous a été transmis. En d’autres termes, il ne parle pas de la « création », mais de toute autre chose (je vous renvoie à l’analyse que j’en fais dans mon précédent ouvrage, Il n’y a pas de création dans la Bible.)

En somme, les dogmatiques se comportent en gros de la manière suivante :

  • ce qui plaît peut être pris tel quel, à la lettre ;
  • en revanche, ce qui ne plaît pas requiert des analyses approfondies et des interprétations en tous genres

Et le Nouveau Testament, est-il fiable ?

Vis-à-vis du Nouveau Testament, on se trouve même face à une attitude qui, dans tout autre cas, ne serait jamais approuvée : l’acceptation acritique de tout ce qui y est écrit, sans la moindre considération pour l’absence totale de sources établies et de preuves historiques.

Ce nouveau livre est comme un fleuve, un courant dont le flux s’écoule avec des pensées qui s’appellent les unes les autres, sans subdivisions didactiques.

Souvent, je n’ai même pas reporté les versets en hébraïque, car j’ai délibérément choisi d’offrir de l’espace aux traductions officielles – non contestées –, en particulier celles des versions de la Conferenza episcopale italiana (CEI, conférence épiscopale italienne=> Sauf indication contraire, les citations de la Bible en version française sont tirées de la traduction de Louis Segond (1910), que l’on peut consulter notamment sur le site https://www.info-bible.org. (N.D.T.)), qui, il faut lui reconnaître ce mérite, rend compte avec le plus d’objectivité du sens du texte hébreu, même dans les passages qui peuvent s’avérer peu en ligne avec la doctrine, voire particulièrement difficiles.

J’ai aussi concédé beaucoup de place aux thèses des rabbins qui étudient les textes sans être conditionnés par l’ultra-orthodoxie intégriste et l’idéologie à caractère nationaliste (connue sous le nom de sionisme), dont le dogmatisme n’admet nul doute, nulle réflexion qui auraient des conclusions susceptibles de diverger de celles qui ont été prédéfinies.

Note : je précise seulement que, quand j’évoque de façon générique la philologie hébraïque, je me réfère aux blogs et aux forums dans lesquels des philologues biblistes hébraïques ont analysé mes travaux précédents.

Le lecteur suivra donc ce fleuve, où il trouvera les bases et les stimuli pour des approfondissements personnels et une réflexion autonome, grâce auxquels il pourra prendre conscience de la consistance (je devrais dire l’inconsistance) des fondations de cette grande construction qui, au cours des siècles, a été édifiée et présentée comme vraie.

Comme je l’écris et le dis toujours, je sais que je ne détiens pas la vérité, et je sais tout autant que je peux commettre des erreurs, comme tout le monde. Dans le même temps, sans être présomptueux, je suis conscient que j’ai au moins mûri au cours des décennies ce peu de connaissances suffisantes pour dévoiler les supercheries flagrantes d’autrui. Mes dix-sept traductions publiées aux Edizioni San Paolo en témoignent.

Les doutes et les questions qui surgissent dans l’esprit du lecteur sont le véritable pharmakon qui aide au déclenchement d’un processus de connaissance autonome, indépendant de toute forme de conditionnement.

Ainsi, j’avance le long du chemin tracé au fil des années. Je traduis littéralement l’hébreu, j’essaie de raconter le plus clairement possible ce que je trouve, et si ce que je trouve ressemble à une fable, du genre Pinocchio, je raconte Pinocchio. Mais il faut savoir que cette fable, ce sont les rédacteurs de l’Ancien Testament hébraïque et du Nouveau Testament grec qui l’ont introduite et élaborée.


 

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