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L'absorption de la vitamine C en 10 points essentiels

Alimentation et Régime

L'absorption de la vitamine C en 10 points essentiels

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L'absorption de la vitamine C en 10 points essentiels
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En résumé, même si on l’a baptisée « vitamine », la vitamine C a permis d’obtenir des résultats positifs dans des domaines médicaux si disparates et à des doses si élevées qu’elle aurait dû être promue, dès le début des années cinquante, au rang d’une classe dont elle est l’unique élément.


L'équipe Macro Editions

point n°1 :

Améliorer votre santé vous changera la vie 

J’espère que vous jouissez déjà d’une santé suffisante. Si tel est le cas, un changement, même perceptible, pourrait vous sembler minime. Ayez tout de même la constance et la patience d’y parvenir avant de décréter que cela n’en valait pas la peine, et vous remarquerez probablement que votre condition nouvelle vous permet d’apprécier des détails inaccessibles à d’autres, moins en forme.

Je connais des sportifs qui allaient déjà bien et ont rapidement compris l’avantage d’une supplémentation avisée en vitamine C. Si au contraire, vous êtes conscient que votre santé n’est pas optimale, sans pour autant savoir de quoi vous souffrez, je vous dirais que c’est le Dr Klenner qui, en premier, nous a enseigné qu’il valait quand même la peine de commencer à prendre de la vitamine C le temps de comprendre la cause réelle d‘une maladie.

Et cela n’a rien d’une exagération : la vitamine C est indispensable au point qu’il n’existe aucune situation dans laquelle elle n’est pas bénéfique. Ne vous attendez cependant pas à des miracles. Quatre-vingts années de recherche et d’expérimentation ont montré que la vitamine C « fonctionne » pour chacun d’entre nous et par conséquent, elle fonctionnera également pour vous. Mais

  1. il faut s’en procurer ;
  2. il faut prendre les doses appropriées ;
  3. il faut être constant.

point n° 2 :

Comment utiliser la vitamine C ?

On peut commencer par 0,5 grammes par jour, divisés en cinq prises : 100 mg le matin, 100 mg en milieu de matinée, 100 mg au déjeuner, 100 mg l’après-midi et 100 mg au dîner. Conservez le même dosage durant quelques jours, une semaine par exemple, afin de permettre à l’organisme de s’habituer.

Ne soyez pas pressé d’augmenter les doses. Si vous voulez débuter par de plus petites quantités, faites-le. Si vous voulez rester à ce palier plus longtemps, pas de problème. Vous pouvez également choisir de prendre la dose en quatre fois au lieu de cinq.

Débuter par une trop forte dose en prise orale peut provoquer des gaz et même des douleurs si l’intestin est en mauvaise santé ou peu habitué. L’intégration de la vitamine C, c’est un peu comme une gymnastique : lorsque l’on n’est pas habitué il faut commencer doucement, petit à petit. Si vous ressentez des douleurs, diminuez les quantités jusqu’à ce que vous trouviez une dose de départ qui ne vous cause aucun trouble.

Cette supplémentation est précieuse : maintenant que vous avez vaincu votre scepticisme, il serait dommage de la saborder par trop d’enthousiasme. Augmentez ensuite l’apport total quotidien, d’un gramme ou d’un demi-gramme éventuellement. Au bout de quelques jours, augmentez encore. (…) Il faut prendre les doses de la manière la plus fractionnée possible ce qui permet une absorption optimale et une hausse de la concentration de vitamine C plus stable et uniforme.

point n°3 :

Mon expérience avec la vitamine C

J’ai ainsi commencé à prendre 2000 à 3000 milligrammes de vitamine C à quelques heures d’intervalle, et un peu plus au coucher. Cela ne m’a provoqué aucun désagrément et n’a engendré qu’occasionnellement un léger effet laxatif dû à la vitamine non absorbée. Puis, quand je souffrais d’une infection, je suivais les instructions du Dr Robert Cathcart dans le but d’atteindre le « seuil de tolérance intestinale » à la vitamine C [e].

Généralement, lorsque j’attrapais un rhume ou ressentais les tout premiers symptômes de la grippe, ou bien lorsque je me sentais fatigué et souffrais en même temps d’un léger mal de tête, ou parfois de gorge. Comme cela était décrit dans les livres, je parvenais à stopper les symptômes des infections naissantes en l’espace d’une heure ou deux, en prenant une plus forte dose de vitamine C à intervalles plus brefs (3000-5000 milligrammes toutes les vingt minutes).

Est-ce que cela a fonctionné ? Eh bien, la première année je n’ai eu ni rhume ni grippe, alors que les années précédentes j’attrapais en moyenne deux ou trois rhumes. (…) Cela fait désormais deux ans que je prends de fortes doses de vitamine C dès que je ressens les symptômes du rhume ou de la grippe, et depuis je ne suis plus tombé malade.

J’ai découvert, exactement comme Hickey et Saul l’avaient affirmé, qu’il est possible de sentir les symptômes s’atténuer et disparaître dans son propre corps de manière inversement proportionnelle à la quantité de vitamine C prise dans la journée.

point n°4 :

La consommation de mégadoses de vitamines C

L’organisme de la majorité des espèces animales produit lui-même de 5000 à 10 000 mg par jour de vitamine C, c’est la norme chez tous les mammifères à l’exception des primates, de quelques chauves-souris frugivores et des cochons d’Inde. Et l’on sait qu’en cas de stress ou de maladie, ce besoin et cette production de vitamine C augmentent chez la majorité des espèces animales.

Nous autres êtres humains pouvons répondre à cette demande croissante en prenant des mégadoses lorsque nous sentons un virus s’implanter. Ainsi, notre corps sera capable de le vaincre plus facilement. Chaque année sont publiées des recherches semblant démontrer que les mégadoses de vitamines C entraînent des problèmes. Mais lorsqu’on les examine attentivement, aucune ne s’avère fondée, le livre de Hickey et Saul en explique très clairement les raisons.

Chaque dose de 2000 à 3000 mg que je prends permet à mon corps, selon le modèle du flux dynamique de Hickey, d’éliminer tout excès éventuel dès que la vitamine a fait son effet. Aucune brûlure d’estomac, parfois quelques gaz, de très légers effets laxatifs ; des inconvénients qui se réduisent en diminuant les doses. C’est pour moi un petit prix à payer pour ne plus avoir de périodes prolongées allant de trois à quatre semaines par ans, durant lesquelles je suis hors service, congestionné et souffrant d’une toux terrible. 

point n° 5 : 

Il existe une dose létale d’eau pour un être humain, mais il n’y en a pas pour la vitamine C qui peut se vanter de sa réputation de sécurité unique.

Résumons les conclusions de Levy : « […] Je ne conseille jamais l’ingestion régulière de vitamine C sous forme d’ascorbate de calcium. Tous les autres ascorbates minéraux sont des sources acceptables pour une intégration de vitamine C, mais lorsque l’on en prend des doses de plusieurs grammes, on risque un surdosage en cations minéraux, à part pour l’ascorbate de sodium et de magnésium. Pour la supplémentation quotidienne, l’ascorbate de sodium représente une forme économique et bien tolérée de vitamine C.

Même si beaucoup cherchent à éviter l’effet laxatif, ce dernier semble être un excellent moyen pour maintenir l’intestin relativement désintoxiqué et propre. Pour ceux qui désirent une absorption quasi-totale de leurs doses de vitamine C, la forme liposomale est le meilleur choix. Pour les états infectieux et toxiques aigus, je conseille également l’ascorbate de sodium par voie intraveineuse, généralement 50 grammes ou plus diffusé durant plusieurs heures, c’est indiqué pour la majorité des individus.

Dans tous les cas, je recommande également l’ajout simultané de la forme orale liposomale. Si l’ascorbate de sodium par voie intraveineuse n’est pas disponible, prenez-le alors par voie orale au seuil de la tolérance intestinale en plus des liposomes, plusieurs grammes chaque heure, en vous laissant guider par vos symptômes et la réponse clinique afin de déterminer le bon dosage ».

point n°6 :

La vitamine C est indispensable au point qu’il n’existe aucune situation dans laquelle elle n’est pas bénéfique.

Je prends moi-même depuis plusieurs années de l’ascorbate de sodium en conditionnement d’un kilo. J’ai également en permanence un stock de liposomes – au moins deux boîtes de trente, en cas d’urgence. Leur durée de vie est d’environ un an et quand la date limite approche alors qu’ils ne m’ont pas encore servi, je les utilise pour ma supplémentation quotidienne. L’ascorbate (comme l’acide ascorbique), doit être conservé dans un endroit frais à l’abri de la lumière.

Son altération par oxydation est évidente puisqu’il prend une couleur jaunâtre : il n’est dès lors pas mauvais, mais pas bénéfique non plus, il ne nous est donc plus utile en l’état. Il existe un vendeur en ligne (www.produzioneintegratori.it) qui propose de l’ascorbate de sodium conditionné en 5 sachets de 50 grammes pour un prix raisonnable, de plus son utilisation a l’avantage d’en être facilitée.

Dans ma famille, nous utilisons également beaucoup les comprimés d’acide ascorbique de 1 g. Ils sont utiles car leur quantité est prédéterminée et parce que l’on peut les avaler sans avoir à se méfier du contact avec les dents. Les adolescents les trouvent très pratiques. Pour les enfants, mieux vaut le préférer sous forme de poudre à dissoudre dans une boisson non sucrée.

En voyage et au bureau, les comprimés sont en revanche beaucoup plus simples d’emploi. Si cependant vous le choisissez en poudre, vous aurez besoin, les premières fois, d’une balance de précision. Vous pouvez en trouver à des prix abordables en cherchant par exemple sur le net.

point n°7 :

Il n’existe aucune autre substance qui soit aussi active pour la santé et aussi dépourvue d’effets secondaires que la vitamine C.

Pour information, voici les substances listées sous la rubrique vitamine C du Règlement (CE) no 1170/2009 en date du 30 novembre 2009 :

  • Acide L-ascorbique 
  • L-ascorbate de sodium 
  • L-ascorbate de calcium
  • L-ascorbate de potassium 
  • 6-palmitate de L-ascorbyl 
  • L-ascorbate de magnésium 
  • L-ascorbate de zinc

L’ascorbate de potassium, de zinc et de calcium ne se prêtent pas à l’intégration de la vitamine C à cause de la quantité des minéraux qui serait ingérée, même à des niveaux inférieurs à ceux du seuil de tolérance intestinale. Il n’y a aucune contre-indication à la prise d’ascorbate de magnésium, au contraire, ce minéral possède des propriétés bénéfiques et n’est générale-ment pas pris en quantités optimales.

L’ascorbate de magnésium n’est pas très répandu puisque l’on tend à proposer ces deux substances, dont le prix individuel est moins élevé, séparément. Certains rapportent que l’ascorbate de magnésium engendre une réduction du seuil de tolérance intestinale mais également une diminution évidente de la quantité de vitamine C absorbée.

Le palmitate d’ascorbyl, enfin, est une substance singulière puisqu’elle se dissout à moitié dans l’eau et à moitié dans les graisses. Cette caractéristique est exploitée dans les préparations cosmétiques. Son coût n’en fait pas un bon candidat pour une intégration par prise orale de l’ordre de plusieurs grammes.

point n° 8 :

Il n’existe pratiquement aucune contre-indication à la prise de vitamine C sous forme de complément.

L’utilisation de la vitamine C, aussi bien en tant que complément alimentaire que mesure thérapeutique, rencontre une certaine résistance et génère des croyances souvent dues à un simple manque d’information. Parfois, même quand ces informations existent, elles ne sont que mensonges diffusés à dessein pour discréditer en bloc les vitamines ou pire encore, pour décourager les personnes de prendre davantage soin de leur santé de leur propre initiative.

Voici donc une courte liste, certainement incomplète, des objections les plus répandues :

  • La véritable vitamine C est celle présente dans les fruits et légumes. (La vitamine C naturelle est meilleure que la synthétique.)
  • Il suffit d’avoir une alimentation diversifiée pour atteindre la quantité nécessaire de vitamine C.
  • Il n’y a pas d’étude sérieuse sur la vitamine C.
  • Il n’y a aucune preuve que la vitamine C fonctionne.
  • La vitamine C n’est pas sûre.
  • La vitamine C entraîne des calculs rénaux.
  • De fortes doses de vitamine C ne servent qu’à en rejeter plus dans les urines.
  • Si la vitamine C fonctionnait vraiment, tout le monde l’utiliserait.
  • C’est simplement un effet placebo.
  • La concentration maximale que le corps puisse atteindre se situe au seuil de la tolérance intestinale.

point n° 9 :

Seule la vitamine C pure a quatre-vingt années de recherches derrière elle.

Parfois, le « problème » de la vitamine C est dû à la diversité des spécialités médicales impliquées : virologie, toxicologie, oncologie, cardiologie, dermatologie… L’explication de ce fait réside dans le nombre limité des nutriments dont le corps a absolument besoin et parmi eux, dans le rôle tout particulier et de tout premier plan que joue cette substance.

Une seule et même substance parvient à soigner autant de maladies et affections variées tout simplement car l’absence d’un seul nutriment fondamental peut provoquer de nombreuses pathologies diverses. Le comportement de la vitamine C contraste avec l’approche conventionnelle qui associe une molécule précise à un médicament brevetable particulier pour une maladie spécifique.

 L’ascorbate possède un large spectre d’application pour prévenir ou soigner les maladies les plus variées, de la cataracte aux anévrismes, de la poliomyélite aux maladies cardiovasculaires, du cancer aux calculs biliaires, du cholestérol aux maladies du cerveau. La limitation de son utilisation à la prévention du scorbut est malheureusement le résultat d’un public mal informé et d’un effort délibéré et apparent pour maintenir des quantités recommandées peu élevées, fondées sur des recherches pour le moins biaisées.

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Point n° 10 :

L’injection d’une forte dose de vitamine C peut empêcher la progression des tumeurs.

Levine attire l’attention de la communauté scientifique avec une étude qui pose les premiers jalons d’une réévaluation de la vitamine C dans la thérapie contre le cancer, plus particulièrement en ce qui concerne la forme intraveineuse.

Hickey et Roberts publient l’ouvrage Cancer Nutrition & Survival dans lequel sont décrites les bases biochimiques pour la thérapie contre le cancer à partir de vitamine C et d’autres antioxydants.

[…] La BBC communique l’information suivante : « La vitamine C ralentit le développement des tumeurs ». http://news.bbc.co.uk/2/hi/health/7540822.stm, 4 août 2008.

Les scientifiques américains soutiennent que l’injection d’une forte dose de vitamine C peut empêcher la progression des tumeurs. La vitamine peut déclencher une réaction en chaîne destructrice à l’intérieur de la cellule tumorale.

Les « perfusions » ont réduit de moitié la dimension « des tumeurs » ; l’étude est publiée dans les PNAS, Proceedings of the National Academy of Sciences. Les auteurs de l’étude soutiennent que le traitement quotidien par la vitamine C à raison de fortes doses « a considérablement réduit les taux de croissance » de tumeurs malignes de l’ovaire, du pancréas et du cerveau chez les souris.

Ces hautes concentrations de vitamine C, capables de stopper la progression du cancer, peuvent être « facilement atteintes chez l’homme au moyen de l’administration intraveineuse d’ascorbate».


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LIVRE guérir avec la vitamine C

EXTRAIT du livre"Comment guérir avec la vitamine C" de Stefano Pravato


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Enfin un article interressant !

publié par Ferard le 02/05/2020

Merci à l'auteur de cet article qui comfirme ce que je pense vis à vis de la vitamine C. Prenant des doses de 3 à 5 grammes par jour jusqu'à 8 à 9 grammes par jour en période hivernale. Je souffrais avant de rhumes répétitifs à l'entrée de l'automne, à l'entrée de l'hiver et à l'entrée du printemps, une malformation de mes canaux nazaux m'empêchait de respirer normalement. Après avoir essayé l'acide L ascorbique en poudre, j'ai trouvé ça incroyablement miraculeux. Pour moi le mot rhume fait désormais partis du passé !

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